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J.L
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J.L
Tandis que nos époux se retrouvaient pour un "Atelier mécanique"...(et çà...nous en reparlerons plus tard...), nous, les Dames du Chevron, avons passé, en ce 17 Mars, une journée très instructive!!
Tout a débuté à 12h par un magnifique repas à l'Arbre Blanc, charmant tout petit restaurant au coeur de Pontoise. Mais... 13 à table!! Afin de prévenir nos superstitions, l'hôtesse avait invité une 14ème convive, une adorable petite poupée en peluche qui présida en bout de table.
Ambiance acidulée au milieu de confitures, miel, épices, objets de déco en tout genre et, aux murs, les oeuvres candides de la maîtresse des lieux! Adresse à retenir...Tout y est fabriqué "maison" par le patron qui est, en outre, Chef dans un prestigieux établissement parisien.
Nos agappes terminées, nous rejoignons l'Office du Tourisme (équipe très professionnelle) où nous attendait une guide-conférencière passionnée.
Pontoise "Ville d'Art et d'Histoire"...Ce n'est pas un vain mot car ses rues et ses souterrains recèlent de trésors.
L'histoire de Pontoise est longue et débute au IIIè siècle. Au XIè siècle Pontoise devient une ville frontière et défend les abords de Paris. Carrefour d'échanges, le commerce des richesses agricoles du Vexin prend un essor considérable. De nombreux édifices religieux et le Château Royal témoignent du prestige de la capitale du Vexin. Dès le XIIè siècle, la ville est ceinturée de remparts et c'est de cette époque médiévale que nous allons découvrir les richesses. Pontoise est à son apogée et accueille régulièrement la cour et les rois de France. La Renaissance verra l'implantation de nombreux couvents. C'est au cours du XVIIIè siècle que la ville prendra son aspect actuel.
Nous débutons donc la visite par une vue générale de Pontoise des terrasses de l'Office anciennement (au XVIIè siècle) l'Hôtel Dieu construit par Saint-Louis et plus récemment la piscine. Nous montons ensuite, par les rues pavées, au point culminant de la cité et nous nous trouvons à l'emplacement même du Château Royal surplombant les rives de l'Oise. Aujourd'hui, une grande demeure bourgeoise abrite, à cet emplacement, le Musée Pissarro entouré du Jardin des 5 sens, spécialement dédié aux mal ou non-voyants.
Notre première incursion dans les souterrains se fera à partir de là. Nous n'en sommes qu'aux balbutiements des montées et descentes d'escaliers dans les entrailles de la terre!
Le centre historique de Pontoise est édifié sur un plateau calcaire, appelé Mont Bélien, entaillé par la Vallée de l'Oise. Très tôt, les habitants ont extrait le calcaire nécessaire à la construction de la ville. Neuf cents cavités ont été répertoriées sur seulement 20% du territoire de la commune.
Le calcaire présent à Pontoise fut très largement exploité, d'abord à ciel ouvert (Place de la Harengerie) puis au XIIIè siècle l'exploitation des carrières évolue vers une extraction souterraine en "puits" ou en "excavage". L'utilisation du puits d'extraction était très répandue (Cave des Moineaux ou carrières du Château). Le puits, de grand diamètre, était creusé depuis la surface pour permettre l'exploitation des bancs calcaire et l'acheminement des blocs grâce à un monte-charge (roue, cage d'écureuil).
Le carrier laissait des piliers de roche brute à certains endroits déterminés pour soutenir le ciel de carrière. Nous avons pu apercevoir dans la pierre des traces de fossiles et parfois même ce que l'on pourrait appeler la signature des carriers.
On peut dire que chaque propriétaire de maison pouvait exploiter son sous-sol pour ses propres besoins, ce qui explique la forte concentration de "caves" en ogive ou en plein ceintre sous les habitations.
C'est au XVIIè siècle que l'extraction sous la vieille ville s'arrête pour se développer l'extérieur de l'enceinte et dans la Vallée de l'Oise. Au XVIIIè et au XIXè siècle, ce sont les grands édifices (le Château Royal, certaines églises et les fortifications) qui, faute d'entretien, vont servir de "carrières à ciel ouvert" pour l'utilisation locale mais aussi l'exportation des pierres par voie d'eau. L'Abbatiale de Saint-Denis fut édifiée au XIIè siècle avec les pierres de la Vallée de l'Oise réputées pour leur qualité.
Outre leur fonction de caves pour la conservation des denrées, de fosses d'aisance et de dépotoirs, où il a été retrouvé, par les spéléologues et notamment l'un des plus célèbres, né à Pontoise, Edouard Alfred Martel, os d'animaux, monnaie, vaisselle, céramiques et divers déchets témoignant de la vie des habitants, les cavités souterraines ont servi d'abris et de refuges.
Nous avons donc visité une cave militaire parmi la douzaine existante transformée en abri pour la population lors de bombardements aériens. Parfois aussi, lieu stratégique de rassemblement des troupes et Q G d'opérations. A noter que l'entrée de ce souterrain se fait par l'accès au parking Jean Jaurès. Fallait-il le savoir?
Bien sûr, nous avons sillonné les rues du Vieux Pontoise, de la rue du Paon en s'arrêtant Place de la Harangerie, véritable studio cinématographique en plein air. "Un long dimanche de fiançailles","Les rivières pourpres 2" "Vidocq", "La Môme "(rediffusé le 18 Mars....le hasard?, où l'on aperçoit les autos de Jean et Jean-Claude) et d'autres succès ont eu pour décors naturels ces vieux quartiers.
Nous continuons notre périple par l'aperçu extérieur de la cathédrale Saint-Maclou, de style composite: roman, gothique, renaissance, classée Monument Historique en 1940. La petite rue des Moineaux nous entraîne à la fameuse Place du même nom, réaménagée en amphithéâtre, où chaque année, concerts et animations artistiques sont donnés.
Nous longeons ensuite l'impasse de la Prison où nous retrouvons sur les vestiges des murs des inscriptions de détenus.
Il faut avoir un oeil averti pour découvrir toutes ces subtilités!!
Puis, nous entrerons dans les Jardins de la Ville qui ont remplacé les fossés qui entouraient les fortifications.
Nous n'aurons pas tout visité en cette après-midi et je n'aurai pas tout dit sur ce riche patrimoine Pontoisien...
Nous n'avons pas suivi la trace des "Impressionnistes" mais cela peut être le sujet d'un prochain "Atelier au féminin".
Refaites avec nous le parcours de cette journée.
J.L
Le Salon Champenois du Véhicule de Collection a fêté en Mars son 25è anniversaire.
Ce salon fait partie des leaders dans le domaine des véhicules anciens.
De très nombreux exposants, amicales et associations se partagent les 60 000 m² du Parc des Expositions de la ville de Reims.
Le thème, cette année "Jour d'Anniversaire", a permis aux exposants de déborder d'imagination pour les décors et les mises en scène de leurs stands.
Des productions locales et champ-ardennaises sont mises à l'honneur au travers des marques S.C.A.R, BEGOT-CAIL, LAMBERT, CLEMENT-BAYARD.
Deux journées de salon où autos, motos et bourse d'échange auront accueilli plus de 26 000 visiteurs
Promenez-vous dans les allées du salon.
J.L
Toute l'équipe du bureau vous souhaite de...
J.L
De l'avis des connaisseurs...Ce salon fut un des plus beaux, principalement par la qualité et la rareté des véhicules exposés.
L'aventure automobile est extrêmement vaste et riche en patrimoine.
Rétromobile, cette année, a choisit de mettre en exergue des constructeurs victorieux de courses prestigieuses (24h du Mans...) comme BMW avec des véhicules inédits en France.
BENTLEY-BUGATTI, réunis, présentent notamment une Bugatti type 55 de 1932, qui sort de restauration et est présentée pour la 1ère fois à Paris
CITROËN, nous entraîne dans son histoire à travers affiches et sculptures
MERCEDES honore les 60 ans de la 1ère 300SL, toute d'alu habillée avec ses portes "papillons" et qui remporta les 24h du Mans en 1952.
MG fête les 50 ans de la MGB, voiture la plus vendue de la marque.
PEUGEOT retrace le parcours de la série culte des "200" de 1929 à nos jours avec la lancement au printemps 2012 de la 208.
RENAULT est très présent dans cette édition 2012 et célèbre 3 anniversaires :
- 110 ans d'Excellence moteur, 110 ans de performance sportive dans toutes les catégories du sport automobile mais aussi de l'aviation et du rail.
- 50 ans d l'Alpine Renault A110, voiture emblématique des années 60. Elle apportera à la marque le titre de Champion du Monde des Rallyes en 1973.
- 40 ans de la non moins mythique Renault 5 qui sera vendue, toutes catégories confondues, à 5,5 millions d'exemplaires de 1972 à 1985.
La République Tchèque est également à l'honneur avec SKÖDA qui présente une Hispano-Suiza de 1926 fabriquée dans ses ateliers ainsi que des berlines haut de gamme qui démontrent le savoir-faire du contructeur.
Figure également dans ce salon la rétrospective de la fabuleuse histoire de la voiture amphibie qui a réellement débuté en 1804.
Cette année Rétromobile propose une exposition sur la Grande Histoire des constructeurs solitaires: des « Constructeurs sans patente ».
A cette occasion, les concepteurs de ces voitures uniques sont présents pour accueillir les visiteurs et partager ensemble cette passion de l’automobile.
Jacques Piollet n’a que 11 ans quand il construit de toutes pièces une première voiture en bois, carrosserie et moteur. Puis, il ne cessera, adolescent, de fabriquer avec les moyens du bord des autos qui rouleront sur la route. Mais c’est en Algérie, pendant son service militaire, que Jacques décide de construire un coupé digne de ce nom. Il en fait des croquis précis, et dès son retour à la vie civile, il mettra son projet à exécution. Jaques Piollet est un constructeur amateur, sans doute, mais ô combien plus perfectionniste que certains professionnels. Sa voiture à mécanique Peugeot, construite entre 1962 et 1965, est toujours dans son garage, prête à prendre la route.
Fils de carrossier Michel Collet est pris très tôt par le virus de la mécanique. C’est dans l’atelier de son père, en plein Paris, qu’il va élaborer sa voiture, inspirée de ce qui se fait de mieux à l’époque, la Ford GT 40. Pour réaliser sa voiture il va partir d’ingrédients que l’on trouve facilement dans les casses du moment, c’est à dire des éléments de Renault 8 Gordini, moteur, boîte de vitesses, suspensions avant et arrière. Et aujourd’hui encore, sa voiture flambant neuve trône dans l’atelier de ce sculpteur, non loin de la frontière Suisse.
C’est vraiment sans moyen financier que Serge Glasson va construire la voiture de ses rêves. C’est l’accident d’une Dauphine Gordini, non loin de chez lui dans le Territoire de Belfort, qui va être le prétexte et la base mécanique de sa voiture. Il achète l’épave et se lance dans l’aventure. Imaginez qu’il n’a pratiquement pas d’outils et que pour faire de simples trous, il ne possède qu’une chignole à main. N’empêche sa voiture voit le jour en 1965 et Serge se lance dans la compétition à son volant, y remportant un grand nombre d’épreuves.
C’est dans la région de Caen que roule encore, pratiquement toutes les semaines, la Fauvel construite par Xavier Fauvel sur la base d’une Peugeot 204. Son idée c’est d’installer dans un châssis et une carrosserie originale de sa conception, l’ensemble motopropulseur de cette Peugeot à traction avant, devenant de facto une propulsion ! Il fallait y penser. Tous les autres ingrédients sont achetés à la casse, comme les phares de Renault 16, les suspensions de R8 Gordini, etc. La Fauvel, régulièrement immatriculée à l’époque, a aujourd’hui 160 000 km au compteur !
C’est dans une ferme, en pleine campagne qu’est née la Renaudat, imaginée par Guy Renaudat sur la base châssis d’une Matra Djet, en 1968. Ce n’est que trois ans plus tard qu’il pourra passer fièrement au service des Mines et obtenir une carte grise à son nom de constructeur. La mécanique est un moteur de Renault 16, les suspensions proviennent d’une Renault 8 Gordini, mais c’est la carrosserie et le travail du polyester qui causera le plus de problèmes à Guy. Problèmes résolus à en juger par la voiture, encore fringante, et aux allures de Dino Ferrari.
BLF
C’est une belle histoire que celle de la BLF, construite par Lionel Bernard, un babyboumeur doué et inventif. C'est l'envie de pouvoir piloter une voiture de course qui l’a poussé à construire sa propre auto. A Saint Julien, dans le Doubs, il se lance dans l’aventure en 1966, il a tout juste 18 ans. Il fait les plans et décide que sa voiture sera plus basse que la Ford GT 40, la référence de l’époque. Et de fait la BLF de Lionel mesurera 91 cm de hauteur contre 1,01 m à la Ford. Pari gagné. Lionel pilotera sa voiture en courses de côte et vient de la ressortir d’un musée Helvétique où elle a passé une vingtaine d’années.
Oyonnax, c’est la patrie du plastique en France. C’est là que Bernard Mermet va élaborer sa voiture qui tient de multiples inspirations dont la Ford GT 40 n’est pas exclue, et possède, naturellement, une carrosserie en polyester. La mécanique c’est bien sûr le sacro saint moteur Renault 8 Gordini, accouplé à sa boîte de vitesse. La belle Romer – nom de la société paternelle –, qui date de 1972, n’a jamais été immatriculée. Pourtant elle affiche 4000 km au compteur, des kilomètres effectués dans la région, nuitamment, par Bernard et ses amis. La tentation était bien trop forte !
C’est l’histoire de deux copains qui, au sortir de leur BTS bureau d'étude mécanique en juillet 1966, se disent que s’ils construisaient de leurs mains une auto, ils atteindraient un double objectif, celui de se faire plaisir tout en enrichissant leur curriculum vitae !
Paul Retailleau, 21 ans, et André Bodin 20 ans, se lancent dans l’aventure et vont faire avancer la construction de deux voitures originales, travaillant une semaine sur l’une et l’autre semaine sur l’autre. Au final ils auront une Prab rouge et une Prab blanche, immatriculées en 1969, montrant leur maîtrise des techniques ; de toutes les techniques : mécanique, carrosserie, polyester, sellerie, et surtout élaboration d’un cahier des charges et dessins de toutes les pièces !
Beaucoup d'autres constructeurs étaient présents ainsi que de nombreux Clubs venus de toute la France pour partager leur passion avec les visiteurs.
D'autres grands collectionneurs font l'affiche de ce salon et notamment....... .
Le MULLIN AUTOMOTIVE MUSEUM fait partie des dix plus importantes collections au monde et est la seule entièrement dédiée aux automobiles françaises.
Peter Mullin, avec son épouse Merle se considèrent comme les gardiens temporaires de cette collection et cette idée de musée, vieille de 16 ans, a pris forme lors de la dispersion de la collection et la fermeture du Musée de OTIS CHANDLER dans lequel figuraient tous les moyens de transport.
Il n’est pas rare d’apercevoir Merle et Peter Mullin au volant d’une de leurs « sculptures » roulantes sillonner les routes et glaner des lauriers dans les différents concours d’élégance où que ce soit dans le monde.
Parmi les véhicules exposés dans le Musée se trouve une importante collection de Bugatti, marque de prédilection de Peter Mullin, parmi lesquelles la Bugatti Brescia de 1925 sauvée des eaux du Lac Majeur et vedette de Rétromobile en 2009 ainsi qu’une impressionnante lignée de « Voisin », dignes représentantes de l’Art Déco en mouvement.
Si vous n'avez pas eu le plaisir de voir, Dimanche 6 Février sur M6, l'émission "TURBO", en suivant le lien ci-dessous, vous aurez droit à la visite guidée de ce fabuleux musée (aux environs de la 24ème minute chapitre 3).
http://www.m6replay.fr/#/emissions/turbo/41484
Et pour clore en apothéose cette manifestation, le spectacle le plus féerique....la vente aux enchères où 80 automobiles de collection et d'exception sont présentées "aux porte-monnaie" des visiteurs....collectionneurs...et autres rêveurs!!!
Parcourez en images les allées de ce salon. .....Et la suite...
J.L
Frileux...nos membres pour se rendre à l'Essec en ce 31 Janvier..comme le temps d'ailleurs!
6 voitures se sont partagées le grand hall avec la superbe collection de Solex de notre ami Philippe.
L'incontournable break Ford banalisé de la Gendarmerie Nationale était aussi présenté avec tout son équipement de haute technologie. Nous apprendrons qu'il sévit entre Magny-en-Vexin et Argenteuil. Alors...Avissss!!!
Pour mémoire, ce petit tableau qui invite à la vigilance....
Retrait de points | Prix à payer | Observations | ||||
Petit excès de vitesse | 1 point | 72 € | 135 € | moins de 19 km/h . | ||
Gros excès | 3 points | 155 € | entre 20 et 39 km/h . | |||
4 points | 155 € | entre 40 et 49 km/h . | ||||
6 points | 1 700 € | <== maxi | entre 50 km/et plus. | |||
Ceinture | 3 points | 155 € | ||||
Téléphone | 2 points | 155 € | ||||
Stationnement | 3 points | 155 € | ||||
Dépassement | 2 points | si vous accélérez ou refusez de serrer à droite lorsque vous êtes sur le point d'être dépassé | ||||
3 points | 155 € | lorsque vous do ublez par la droite sans clignotant ou trop près d'un piéton (ou d'un cycliste....) ou sans possibilité de vous rabattre vite ou en faisant une queue de poisson ou alors que vous êtes déjà sur le point d'être devancé. | ||||
Feu Rouge ou« STOP » | 4 points | 155 € | ||||
ALCOOLÉMIE | 6 points d'office | jusqu'à 9900 € | ||||
Petite alcoolémie | 155 € | Taux d'alcool compris entre 0.5 et 0.8g/l de sang soit de 0,25 à 0,0 milligramme par litre d'air expiré. | ||||
Grosse alcoolémie | jusqu'à 4 900 € | Délit passible également de deux ans de prison maxi, pour un taux d'alcool d'au moins 0,8 gramme par litre de sang, soit de 0,4 milligramme par litre d'air expiré. La sanction est identique en état d'ivresse manifeste ou si vous refusez de vous soumettre au test. En cas de récidive (état d'ébriété, état d'ivresse manifeste ou de nouveau refus du test) la peine maxi est do ublée (jusqu'à 9000 € et 4 ans de prison). | ||||
Priorité | 4 points | 155 € | ||||
Sans clignotant | 3 points | 55 € | si vous changez de direction ou si vous sortez d'une place de stationnement | |||
Éclairage | 4 points | 155 € | si vous circulez sans éclairage de nuit ou par visibilité insuffisante. | |||
Distance de sécurité | 3 points | 155 € | ||||
Ligne continue | 1 points | 155 € | si vous la chevauchez.. | |||
3 points | 155 € | Si vous la franchissez. | ||||
Sens interdit | 4 points | 155 € | ||||
Autoroute | 3 points | 55 € | quand vous circulez sur la bande d'arrêt d'urgence | |||
4 points | 155 € | si vous faites demi-tour ou effectuez une marche arrière. |
| |||
Détecteur de Ra da rs | 2 points | jusqu'à 1 700 € |
| |||
LES DELITS suivant | 6 points | jusqu'à 35 000 € | et 5 ans de prison. | |||
Conduire malgré une suspension de permis ourefuser de le remettre | jusqu'à 4 500 € | et deux ans d'emprisonnement. | ||||
Plaques | Jusqu'à 3 990 € | et 5 ans de prison lorsqu'elles sont fausses | ||||
Fuite après un accident ou un refus d'obtempérer | jusqu'à 35 000 € | et 2 ans de prison. | ||||
Blessures Involontaires avec interruption temporaire de travail de moins de trois mois | jusqu'à 30 000 € | et 2 ans de prison. | ||||
ALORS SOYEZ PRUDENTS
Pour en revenir à notre expo...Il y avait en outre 4 véhicules en extérieur qui en apparence se sentaient perdus au milieu de l'esplanade.
Les jeunes étudiants, chargés cette année de l'organisation, ont, comme à l'accoutumée, accueillis nos collectionneurs avec beaucoup de gentillesse et de bonne humeur. Ils ont permis à notre équipe de partager leur déjeuner dans une ambiance chaleureuse!
N'oublions pas que cette Grande Ecole brasse des centaines d'élèves en mouvement permanent et que de nombreuses nationalités sont représentées. Les étudiants asiatiques ont été particulièrement conquis par nos belles autos..Photos..photos!!!
Quelques images de cette journée...passée essentiellement à table!!
J.L
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Toujours de plus en plus puissantes et de plus en plus robustes, ces voitures de légende ont fait les beaux jours du grand banditisme.
John Dillinger en Ford Model A, Bonnie and Clyde en Ford Model 18, Al Capone en Cadillac Town Sedan, Mesrine en BMW 528i, Jules Bonnot en Delaunay-Belleville, Pierrot le fou en Citroën Traction...
Le développement de l'automobile a vu apparaître une nouvelle forme de crimes et de délinquants.
Nos contemporains ne sont pas en reste, puisqu'aujourd'hui la multiplication des "go fast" (voitures qui transportent de stupéfiants à vive allure) est le résultat d'une lutte sans merci des constructeurs de bolides toujours plus performants.
Le plus célèbre couple de gangsters, Bonnie Parker et Clyde Barrow ont marqué l'histoire des Etats-Unis.
Dès 1932, à bord de leur Ford Model 18, accompagnés d'un petit groupe de criminels, ils vont semer la terreur dans cinq états américains faisant douze morts au cours de braquages de banques et de magasins.
C'est en 1934 que prendra fin cette folle épopée.
Un barrage policier criblera la carrosserie de la Ford de plus de 130 impacts de balles.
L'un des symboles de la puissance d'Al Capone est sans aucun doute sa Cadillac Town Sedan.
Parrain de la mafia de Chicago entre 1925 et 1932, Al Capone est la figure du crime organisé américain pendant la Prohibition. Peinte en vert et noir, elle ressemble étrangement aux véhicules de police et est équipée de la même panoplie (gyrophare, sirène et émetteur d'ondes radio). La carrosserie blindée mettait Al Capone à l'abri des balles des policiers.
Le plus cocasse de l'histoire c'est que la Maison Blanche l'utilisa plus tard pour transporter en toute sécurité le Président Franklin Roosevelt.
Cette Cadillac a été vendue aux enchères en 2010 pour la modique somme de 458 000€.
Ces années 30 sont porteuses d'ennemis publics et John Dillinger en sera le n°1.
Il multiplie les crimes à bord de sa Ford Model A V8 3.3 de 40cv et sème le FBI. Son véhicule dépasse les 100km/h, une performance pour l'époque!
En 1934, rattrapé par les forces de l'ordre, il est abattu à la sortie d'un cinéma.
Sa Ford devient un symbole aux Etats-Unis et sera conservée par la famille.
Revendue puis restaurée, elle figurera dans un film ayant pour thème la vie de John Dallinger en 2009 et sera, par la suite, vendue aux enchères pour un montant d'environ 100.000€.
En France, entre 1911 et 1912, Jules Bonnot, leader de la "Bande à Bonnot" a révolutionné les braquages. Pilote chevronné et mécanicien éprouvé, il est un des premiers gangsters à se servir de l'automobile pour accomplir ses cambriolages.
Les "bandits en auto" vont semer la terreur auprès des banques parisiennes. Les braquages sont de plus en plus meurtriers et l'Etat décide de mettre fin à ces carnages en déployant 6000 policiers et militaires autour de sa "cache" à Choisy-le-Roi. C'est à coup de dynamite que l'aventure prendra fin.
La limousine Delauney-Belleville 12cv de 1910 entrera dans l'histoire du grand-banditisme.
Pierrot-le-fou ou Pierrot-la-voiture, allias Pierre Loutrel, ex-collabo, membre de la Gestapo, inaugure, après guerre, la série des ennemis publics n°1.
En 1946, il est recherché par les polices de Paris, Nice et Marseille.
A la tête du "Gang des Tractions", ce spécialiste de la mitraillette commet une série de braquages
sur la Côte d'Azur à bord de sa Citroën 15/six.
Devenu totalement incontrôlable, Pierrot-le-fou est lâché par sa bande et décèdera accidentellement lors d'un braquage Avenue Kléber à Paris.
De l'autre côté de nos frontières l'Allemagne a, elle aussi, son lot de terreur avec la Fraction Armée Rouge de la Bande à Baader. Dans les années 70, le gang anarchiste commet des attentats, des enlèvements et des assassinats et le groupe révolutionnaire utilise pour ses interventions de grosses cylindrées haut de gamme et plus particulièrement une BMW 2002. La marque sera vite associée à l'image des "sanguinaires" et sera loin de l'image qu'elle voulait véhiculer.
De retour chez nous, c'est Jacques Mesrine qui fera la Une en 1979 avec sa BMW 528i.
La brigade anti-gang a mis fin à la cavale de l'homme aux "1000 visages" et les photos de la voiture criblée de balles ont fait le tour du pays.
C'est seulement en 2007, après avoir passé 28 ans dans une fourrière de la police, que ce véhicule a été détruit.
Voici donc, par le petit bout de la lorgnette, ce que fut la vie de certaines de ces autos que nous aimons tant...
J.L
L'histoire de 2 monstres de l'automobile...Le Losange et le Lion, querelles, alliance, concurrence ou quelle statégie adopter face à l'arrivée des marques étrangères sur le marché?
Diffusé en Décembre 2011 sur une chaîne de télévision, j'ai trouvé intéressant de vous faire partager ce document tourné en 1966.